Ekaterina Ustinchenko : faire naître l’interactivité

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18 décembre 2009AGuiraLaisser un commentaire

Notre monde d’aujourd’hui vu par les flux et l’information. La ville se transforme, en restant dans les termes d’espace public avec ses modifications provoqué par la diffusion et la fragmentation des flux, leur complexités et leur interaction. Les nouveaux outils numériques permettent de capturer du flux de manière paramétrique.

Les différents paramètres et possibilités du changement font naître une idée d’environnement réagissant comme un dialogue entre actions et réactions, changements et transformations, homme et milieu urbain – une suite d’événements qui s’opèrent en temps réel. Par exemple, en choisissant un abri de bus comme un objet de la conception on peut créer un élément de l’espace urbain qui se transforme en fonction des actions des gens. Dans cette milieu publique nous attendons le transport, nous recherchons aussi bien de notre propre espace, individuel et personnel que nous donne une envie de changer la pose, se cacher sous l’abri au cause de conditions climatique, ou se protéger. De cette façon, les sources de la transformation peuvent etre le changement de pose, le geste, le deplacement, la fréquentation, où la structure s’agrandit quand plus de deux personnes sont présentes sous l’abris. Il est évident que dans la ville nous avons besoin d’espace vide. Cette affirmation nous fait penser à l’élaboration de l’environnement qui se préoccupe de l’homme-l’élaboration de l’espace sensible avec le système des actions et des réactions qui va se développer en organisme adaptable et multiplicateur où l’homme devient un facteur formant et fait apparaître un code personnel de cet espace. Une des références principales dans l’histoire de l’art peut être un programme de l’utopie urbaine – les expérimentations d’Archigram. Ce programme est une idée de l’expression plastique de la précipitation du mouvement et de la dynamique comme des signes principaux du rythme de la vie. Ils considéraient l’habitation comme un organisme vivant, qui réagit aux changements de l’extérieur et de l’intérieur en transformant sa forme et sa structure. L’idée de l’espace réagissant donne des possibilités: -de programmer et de coder la ville -de libérer l’espace vide indispensable -d’individualiser du temps urbain -de transformer la dépendance de l’homme des structures technique, des dispositifs -de représenter aux formes urbain l’idée de la pulsation, du changement, du mouvement -de modifier des pratiques de projet et d’élaborer -d’un système de developpement des formes réagissantes; une façon de se former, de s’épanouir -d’un système d’actions et de réactions probables – une suite des événements dans l’espace urbain. -de la totalité de l’environnement réagissant qui va représenter l’image de la ville -des effets de zones réagissantes par rapport à la présence et l’absence des usagers et des besoins -d’un système de visualisation dans l’environnement -d’une base technologique design paramétrique – objets réactifs

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